Renfort de tête de mur façade à rue et faux-plafond caché découvert !
Préparation du renfort de tête de mur façade côté jardin.
Renfort de tête de mur façade à rue, béton coulé avec brique de coffrage.
Découpe de l'isolation des voisins qui est par dessus chez nous. On se rend compte du volume à venir !
Finalement, faut plafond de notre chambre ouvert pour renforcer la tête de mur afin d'y déposer la sablière.
Les autres double poutres ont suivi.
Faîtière en place ! (double 10/30 cm par 8 m de long)
Isolation des voisins (mur mitoyen) par dessus chez nous.
Ficelle symbolisant le futur profil de toiture.
L'inspecteur de chantier passe à l'improviste un dimanche soir.
Poutre en I ("i" majuscule) de la future toiture.
Début de la réhausse du mitoyen gauche.
Le profil bien visible de notre ancienne toiture "sous" l'isolation des voisins.
La vue est dégagée !
Chauve !
Créneau d'ancrage de la dalle.
Ferraillage de la dalle.
Nouvelle "fondation" pour l'escalier.
Nouvelle colonne de support pour la double poutrelle.
Nouvelles fondations de l'extension.
Maçonnerie côté cuisine enlevée.
Toilette, disparue !
Tracés des futures fondations de l'extension.
Ouf, pas que de la mousse !
Vide rempli avec de la mousse ?
Colonne de support de la façade.
Châssis arrière, disparus !
Porte cuisine-véranda, disparue !
Châssis arrière, disparus !
Nouvelle chambre de visite des égouts devant l'entrée.
Cheminée de la laverie de 1929, disparue !
Le haut des murs de l'ancienne cave apparaissent (escalier y descendant à droite).
Poutrelles des voussettes de la cave.
La chape existante est parfois très épaisse.
Passage de cheminée dans le grenier.
Plus de carrelage de véranda non plus.
Y a plus de sol au rez !
Passage de cheminée dans notre chambre, disparu aussi !
Petit test pour voir ce qu'il y a dessous.
Le mur du fond du garage a disparu
Chambre d'Abel
Chambre de Camille.
7h30
Remember.
Pas de trésor sous la dalle du jardin.
Le conteneur sera le bienvenu.
Linteau de la fenêtre haute du rez avant 1981, visible depuis le +1.
On dessouche le laurier.
Vide entre les poutres du rez et le mur du +1.
Mur cuisine-garage détapissé (pour rien).
Chambre d'Abel
Il est où le BBQ ?
Parti le bardage.
Démontage bardage.
Détapissage.
On va avoir un problème avec la PEB avec ce radiateur dehors...
Ciao la véranda !
Bye bye la cuisine !
Un petit bain ?
Démontage du faux-plafond tendu (on y découvre le faux-plafond caché en lambris).
Démontage des faux-plafonds.
Ciao le laurier...
Encore un peu de graphisme scolaire...
On est où là ? Un peu de scolaire (flou).
Vraiment fatigué !
On est bien fatigué, mais content de l'avoir fait !
Le bas des éoliennes est peint pour se fondre dans le paysage... Pas mal !
Une petite photo "carte postale" ou encore "scolaire", par principe.
On file voir la mer.
Deuxième jour : devant notre hôtel (merci Catherine, merci Freecycle.org).
La cour intérieure de l'ancien hôpital (Sint-Jan?).
Photo classique, mais de nuit...
Y a pas mal d'animation sur la grand' place. Des jeunes chantent, des touristes font des balades en calèche, certains mangent en terrasse et d'autres font des photos.
Le calme de la nuit à Brugge.
La cour d'un musée (si je me souviens bien).
Brugge by night, avec la Lune (waaaaaaa).
Et on revient au canal.
Encore des passages entre les arbres.
C'est drôle, notre bouteille de yaourt à boire nous confirme notre position! Pourquoi avoir un GPS alors qu'une bouteille de yaourt suffit! Les usine Campina à Aalter...
Je voyais pas le futur si triste... (on le voit pas bien, mais ce bâtiment résidentiel s'appelle "De Toekomst").
Tiens, il me semble avoir déjà pris cette photo, mais avec trois potes à l'avant-plan (http://bbbb.cyclic.eu/prepa.html).
Il y a même une piste équestre sur cette portion.
La nature, mais quel spectacle !
Eh, qui conduit pendant ce temps-là ?
La météo a bien changé depuis notre départ de Bruxelles où il pleut :-)
Une pause pipi et barres céréale (Coco Mango de chez www.toutlordumonde.be).
On retrouve le canal.
Le Pino et sa passagère à Gent.
Gent, ça a l'air sympa mais là on a pas le temps...
On dépasse un vieux pêcheur.
Je quitte le tandem pour vérifier qu'on suit le bon balisage.
Puis l'inverse (du plus clair au plus sombre) avec un portrait d'homme.
Une installation artistique, des photos (portrait féminin) géantes déposées dans les champs, la luminosité augmente de photo en photo. Mais y en a plein d'autres du même cliché...
Et c'est reparti pour du canal bien plat !
Aaaaaaah, l'astuce, une navette gratuite nous emmènera à notre prochain point nodal.
Notre itinéraire nous indique d'aller à droite... oui oui, vers l'eau !
Wow !
Un pont en rénovation à Aalst nous fait emprunter un pont piéton avec une goulotte pour vélo (mais c'est bien raide).
On a rejoint un canal, un peu de plat à l'abri du vent de face (faible mais quand même).
On a quand même droit a des petits sentiers mais le revêtement n'est pas trop mauvais.
Quelques grosses énooOormes baraques avec un petit jardinet à l'avant ! C'est Beverly Heuvels ici ou bien ? (Hills en flamand)
Une piste cyclable ? Non, une (petite) rue...
Un des petits détours proposés par l'itinéraire balisé.
On passe par des quartiers résidentiels plutôt riches... (des murs en verre?)
On retrouve les paysages comme on les aime... calmes et rustiques.
Les fameux knooppunten nous font passer par des pistes cyclables bien à l'écart de la circulation dès la sortie de Bruxelles.
Nous y voilà ! Reste plus qu'à rentrer à la maison !
Beau couché de soleil sur l'ascenseur.
Arrivés à Bruxelles-Midi, direction l'ascenseur du Palais de Justice.
Changement à Charleroi, heureusement sur le même quai.
Une banane dans le train pour déconner.
L'emplacement vélo est tout de suite bondé avec nos 3 vélos et 1 tandem ! Aucun soucis de chargement.
Finalement on pourra attendre 1h30 car il y a qu'un train toutes les 2h !
On pensait ne pas avoir le temps d'où la nationale pas cool.
Direction Couvin par la nationale, mauvais choix (pub Super de Fagnes).
Chimay : pause Chimay blanche et glace !
Le RV1 passe par le RAVeL qu'on avait boycotté plus tôt (préférant passé par les villages).
Y en a un qui a racheté une partie de la maison de son voisin !
C'est des grosses gouttes quand même.
Abrités le temps d'une bonne vieille averse orageuse. On ne patientera que quelques minutes (c'est classique). Merci la terrasse de café fermé.
Contournons le lac de la Plate Taille par l'Ouest.
Mini pause au barrage de la Plate Taille.
Le groupe du deuxième jour au bord du lac de l'Eau d'Heure.
Petite pause collation et séance photo mode.
Dernière ligne droite vers le lac.
Ça descend !
On arrive au lac de l'Eau d'Heure.
Le soleil pointe le bout de son nez.
Des champs d'éoliennes (et de lin)...
Beaucoup d'éoliennes...
Des éoliennes...
On roule à travers des paysages qui nous dépaysent !
Fait un peu plus frais ce matin.
Ah, voilà le tandem !
Et tout le monde suit avec le sourire !
Les chouettes routes calmes typiquement vacances.
Un coussin dans le pantalon, ça change un homme !
Douleurs au fessiers, remède : coussin.
Pas joli le cadre pour déjeuner ?
On est bien, loin du stress.
Après une nuit spécial Garou dans un camping résidentiel, dimanche matin, petit déj' à Thuillies.
Pika nous a rejoint et reprend l'une d'entre nous.
Fatigué ?
Un petit resto pour fêter ça !
Ils ne s'arrêtent pas ! Pfff...
La bruyante fanfare de Thuin ! Dju !
Prêt à repartir ?
Petite pause au bois du Baron.
De belles vagues!
Des champs de lin sur notre chemin.
Le château de Seneffe (vélo interdit à l'intérieur de la cour).
Le Pino devant le château.
Petit sprint vers le château de Seneffe.
Toujours l'ancien canal.
Ça roule paisiblement.
... et pittoresque.
L'ancien canal est beaucoup plus vert...
L'ancien canal.
Toujours sur l'ancien canal.
Une péniche résidentielle de l'ancien canal.
Et wala !
Jonction "ascenseur"-canal.
En action.
Fini la pluie. Le plan incliné de Ronquières.
Samedi, la pluie fait son apparition peu après le départ... On s'abrite.
On s'approche du BBQ en passant par de toutes petites routes.
La route est paisible au soleil.
Première photo du Pino chargé en roulant.
Les anciennes industries du canal.
Canal Bruxelles-Charleroi (vers Clabecq).
Le long du canal Bruxelles-Charleroi (vers Ruisbroek).
Prêts à partir !
Prise en photo.
Façade en trompe-l'oeil à Vienne.
Retour en voiture.
Prêt à repartir, visiblement bien équipé !
Photo volée par un paparazzi ?
Sortie de l'eau aménagée.
Elodie n'a pas froid aux yeux mais bientôt mal aux fesses !
Ole s'envoie en l'air.
En attendant qu'ils se décident à sauter.
Allez zou !
C'est haut tout de même !
J'y vais ou j'y vais pas ?
On se déguise aussi !
7h55m25s, soit 3 secondes plus tard !
Les prémices de la descente : 7h55m22s.
"Et là tu penches l'appareil, hein !"
On va faire une chouette photo !
Caillasses.
Un peu de Hors-Piste ?
On a pas tous été d'accord visiblement.
Désertique sommet.
Une pub ?
On y est, à 1912 m !
On y est les gars !
Aaah les voilà !
La lumière est belle... et le sujet aussi !
Le soleil réchauffe !
Les vallées dorment encore.
Le Grand Chauve se réveille.
Le soleil se lève.
Voilà, c'est fait !
Approche du sommet dans la pénombre.
On attaque le Ventoux ! 3h30 du mat'...
Les ruines dans la ville.
Coupé !
Petit petit.
Dans les ruines.
Montage d'une scène dans l'ancien théâtre.
Visite des ruines de Vaison.
Réunion au sommet.
On s'amuse comme on peut.
La piscine pleine de crème solaire.
Hauteur 8-10m.
Le Paty et son barage.
On espère bien !
Chez les cousines d'Elo, une petite aprèm à la piscine et un BBQ ! Cooool !
Aaaah l'amouuuuur !
Le pont d'Avignon, mais faut bien regarder !
Le pont d'Avignon.
Corbier en concert !
Les amoureux.
Avignon.
Yeah man !
Let's stay !
Let's move !
Camping un peu trop familial.
Dénoncés, on nous apporte un BBQ spécial pour zone sèche... les tou-ristes !
Elodie est arrivé, on est prêt à démarrer le BBQ tout neuf !
On s'installe après avoir passé la première nuit dans un bungalow.
Notre emplacement ombragé (de 21h à 7h).
On le voit bien, on y est presque !
Pour attaquer la dernière ligne droite, un grand coca pour tous à Bollène.
On profite avant la fin.
Petite sièste avant la fin.
Fab, son rétro et sa grenouille légendaire.
On pose les vélos quelques minutes, le temps de manger.
Passage par Montélimar, on y est presque !
En route vers Valence.
Quelques brèves secondes de totale liberté.
... à notre honte vestimentaire !
Prenons garde...
San Françaisco.
À part le béton, c'est très joli, c'est surtout ensoleillé !
Et on profite du soleil mérité.
Après la piscine du camping, on trinque avant de partir.
On vient nous dire bonjour.
Le cuistot en action !
Allez, un peu d'exercice !
... on était bien dans nos tentes.
... encore un peu...
On aurait bien dormi encore...
La route n'est pas des plus plaisante.
Façade en trompe l'oeil à Lyon (pause de midi).
Ole n'a peur de rien.
Mons, ici ?
Ouaiiiis la vieille caravane !
On a monté les tentes en 30 secondes car il douche ! Fait ch*** !
La Saône.
Camping nul, cher, avec un séchoir en panne, on patiente.
Il est tard, 19h35, mais on roule jusqu'au camping indiqué.
Sacré Joseph qui donna son nom à un type de femme, ou à la femme d'un type !
Ouais, on est fan !
Ca déforme, on trouve ça drôle.
The team.
Allez, hop, on descend.
Eh hey !
Pour la déconne.
Ah, c'est pourtant par là qu'on va !
Clos de...
Nondidjum comme c'est beau !
Au nom de l'humour.
Sans carte, on fait comme on peut ;-)
Ca y est vraiment là ! Les vignobles !
La Bourgogne, ses vignes et son flic à vélo.
Va bien falloir sortir de la tente...
Ambiance romantique.
Après un bon repas mérité.
Un peu douteux, non ?
On a droit à de belles vues.
Mais quel ciel !
On est des sacrés veinards !
Mais quel paysage !
Chacun décompresse comme il peut.
Dans un bled perdu.
Au nom de l'humour.
Le poste de pilotage de Fab "Da Marzocchi".
Le cuistot attitré.
À trois de front.
Tranquilles !
Le garant de notre sécurité sur les RN : le rétro de Fab ! CAMIOOOOOON !
Moins modeste.
Miam miam !
T'habites où déjà ?
Faut pas oublier de s'hydrater !
Le temps des cerises 3/3, allez ciao !
Le temps des cerises 2/3.
Le temps des cerises 1/3.
On reprend les chemins de halage.
On décompresse comme on peut.
Halte au bord de l'eau.
Avec piscine bien entendu !
Notre camping de hollandais.
Fallait s'y attendre !
Quelques petites courses au guidon.
C'est tranquille Joinville.
On va là en-bas, à Joinville.
Encore un effort les gars !
Juste après la grimpette "gn-gn-gn".
Le raccourci n'était pas une si bonne idée.
Yeah !
On s'arrête, on profite.
Petit raccourci improvisé.
Les pros de la prise dans la sacoche voisine.
Modeste.
Aïe ! Le plus brave !
On traverse les villages comme des stars... mouais.
Pendant qu'on remet un rayon à la roue arrière d'Ole.
On continue ! Trop content !
Presque 11h, on ferait une pause ?
Ça roule bien par ici.
C'est reparti, on va l'atteindre ce Ventoux.
Le campement du jour.
Allez, au lit, à trois ! Asphixie en vue...
Hop hop hop !
Ouaiiiiis, la bonne journée !
Petites réparations aux sanitaires squattés pour la nuit.
Le ciel reste menaçant après la douche.
L'orage arrive, on s'équipe. Chacun à sa manière...
On est tranquille, en balade.
C'est tout droit !
Un stress ? Non juste concentré pour la photo.
Ça roule !
Rien de mieux que du gras pour faire des réserves.
Fatigués, on écoute les locaux qui nous racontent leurs histoires.
Le camion pompiers dans l'église ?
Des paquettages bien faits à la "Daddy".
On a de la chance d'être ici.
La météo est avec nous.
La route est agréable.
Ça commence plutôt bien n'est-ce pas ?
Petit déj' au soleil sur les berges.
Au réveil en bord de Meuse. Gonflés les gars !
Les sanitaires de Dinant.
C'est parti !
Ultime nuit inconfortable.
Parc Guell.
Sagrada Familia.
Pedrera (Casa Mila).
Fab se fait un bonne grosse insolation, breakdown.
Palamos c'est Blankenberge exposant 13.
On dîne à Palamos, petite bouffe sur le muret qui borde la digue et la plage.
Sur la route, on se fait deux ou trois nationales dangereuses, très très !
Direction la frontière espagnole, la route est semée d'embuches : des multi-croquettes terribles avec mêmes quelques tunnels pas sympas, mais on reste cool.
L'appel de la Madeloc est irrésistible, on fonce! 680 m d'altitude, le prieuré de Fab. La fin de la route (du 24%) se termine à pieds.
"En Cours de Root" (des musicos fous et vagabonds squatteurs campeurs). Rencontre de l'anglais de Manchester qui nous avait filé son gaz à Quillan.
Collioure.
On roule tranquillement jusqu'à Argelès.
La nuit méga-pluvieuse donna le nom définitif de cette ville : Amélie-les-douches !
Pour la pause de midi, Ole nous offre un prieuré qui restera dans les anales, et dans le vocabulaire courant du périple ("à chacun son prieuré", "se faire un prieuré", "putain de prieuré!", "un mini-prieuré"...).
On prend la route et la vision du Canigó s'offre à nos mirettes bées.
Zéraldine.
On termine la soirée sur un concert gratuit de Obrint Pas, un groupe de Catalans engagés !
On attend 19h avec impatience car la cuisine est fermée jusqu'à cette heure tardive (on n'a pas mangé ce midi sauf barres et isostar, on était en pleine descente).
On fait la photo souvenir puis hop, la descente de 25 km !
Après s'être attendus et félicités, on s'équipe à l'abris d'un... abris où chaque (cyclo-)touriste a noté son nom et la date.
Le col de Jau en chiffre : 6,7% de dénivelé en moyenne sur 13,4 km - 896m de dénivelé - 10,7% de dénivellement maximum.
On commence dans les gorges : Gorges de la Pierre-Lys puis celles de Saint-Georges.
On entre réellement dans les Pyrénées.
Fini le canal, à nous les routes de montagne.
Cité magnifique et retour au camping pour lessive de 23 à 24h pour Ole et Geoff !
Carcassonne.
Interminable canal... C'est très beau, mais un peu monotone.
Excellent départ à 8h20... car on s'est tout simplement levé à 6h20.
On croise des flics à vélo et on leur demande le chemin. L'un d'eux appelle le central pour savoir le chemin à emprunter...
Toulouse.
L'eau du canal est relativement claire et accessible, la vaisselle y sera faite sans soucis !
Un petit repas sympa, des pâtes... Mais ! à la sauce fromage, hélas décevante, mais innovante !
On quitte ensuite le bord du canal pour faire un infarctus sur une nationale... On a plus trop l'habitude des voitures !
Textile, évidemment.
Il s'agit bien d'un champs de chanvre !
Théâtre du Canal ?
A l'occaz, on se fait suivre par un roller-man de 45 balais bien tapés qui suit bien.
On quitte Sérignac et sa bonne humeur (en gardant la nôtre) pour la presque extrême chaleur du bord de canal.
On commence à mourir de faim quand on nous annonce la fête à Sérignac. Quatre sandwiches jambon fromage en plein milieu de l'apéro du 15 août offert à tous devant l'église du village.
Vrai début du canal latéral de la Garonne pour nous.
Après plantage des couchages, on file rapidement vers les bords de la Garonne qui est bien claire et relativement bonne.
Après une boucle-détour, la première crevaison du voyage est la bienvenue, tiens ! Ole s'y colle !
On roule bien, on se perd à plusieurs reprises. Mais on s'en fout car la route en sortie de la banlieue verte de Bordeaux est plutôt sympa et agréable.
On roule jusqu'à l'Atac! C'est juste un supermarché...
On campe sous une lumière de route, pas super super.
Arrivée cool à Bordeaux-Saint-Jean, déchargement puis remontage des vélos dans un couloir tranquillement mais sans traîner.